La presse[1] a récemment rapporté le cas de deux offres d’emploi frauduleuses sur le site internet d’Actiris. C’était une escroquerie. Qu’elles ne soient que deux laisse penser que l’ampleur du phénomène n’est pas trop importante, d’autant que le nombre total d’offres tourne autour de 29.000. Il faut cependant rester vigilant car, pour les agents d’Actiris, il n’est pas aisé de distinguer une véritable offre d’emploi d’un traquenard pour chercheurs d’emploi. J’ai interrogé le Ministre Gosuin sur cette affaire.
Ce jeudi 2 février, en Commission des Affaires économiques et de l’Emploi, j’ai interpellé le Ministre Gosuin sur un sujet trop souvent passé sous silence : la situation socio-professionnelle de toutes ces femmes d’origine étrangère et hautement qualifiées, qui sont en attente d’un emploi.
Jeudi dernier, en commission des affaires économiques et de l’emploi, j’ai interpellé, une nouvelle fois, notre Ministre Gosuin sur la situation socio-professionnelle des réfugiés et, en particulier, sur la question de la reconnaissance et de l’équivalence des diplômes, dans le cadre de la lutte contre les discriminations.
Ce jeudi 7 juillet, je suis intervenu en Commission des affaires économiques et sociales sur la question des réfugiés demandeurs d’emploi dans notre Région. Pour ce faire, je me suis appuyé sur la récente et intéressante étude, parue dans la Revue économique de la Banque Nationale du mois de juin, menée par deux chercheurs de la BNB, qui s’est intéressée aux conséquences économiques de l’afflux des réfugiés en Belgique[1].
En commission des affaires économiques de ce jeudi 21 janvier, je suis intervenu sur un projet d’ordonnance, relative aux stages pour demandeurs d’emploi.
La question de l’extension des outils et services d’Actiris, Bruxelles Formation et VDAB (créés initialement à destination des chômeurs indemnisés) aux personnes exclues par l’ONEM s’est posée à plusieurs reprises, au sein de cette commission.
La réforme des allocations d’insertion par le Gouvernement Michel constitue une injustice insupportable à l’égard des plus fragilisés et va frontalement à l’encontre des objectifs en matière de diminution du taux de chômage et de formation professionnelle.
Ce jeudi 21 mai 2015 les CPAS Bruxellois ont donné une conférence de presse sur les conséquences pour leurs institutions des mesures de « fins de droit » aux allocations d’insertion. L’ONEM annonce pour la Région de Bruxelles-Capitale 3.365 personnes sanctionnées pour le premier trimestre 2015 suite à des fins de droit aux allocations d’insertion.
La majorité fédérale a très courageusement décidé (je cite) de « frapper un grand coup » contre le principal mal qui gangrène, selon eux, notre pays : les chômeurs. Le Secrétaire d’État à la Lutte contre la fraude sociale a,en effet, supprimé l’obligation légale des contrôleurs de l’ONEM de prévenir les personnes contrôlées quant au moment de leur visite et quant aux modalités qui accompagnent cette disposition.
Je crois que les interpellations de mes collègues font largement letour de cette épineuse question – preuve s’il en est de l’importance que nous lui accordons tous, majorité comme opposition. Je ne vais donc pas revenir sur les questions déjà posées auxquelles le Groupe socialiste et moi-même nous joignons bien entendu.